jeudi 5 mai 2022

Pin-Pon : la suite...

J'adore les médias lorsqu'ils parlent de l'affaire de la manifestante ayant agressé un pompier. Ils la présentent comme la "suspecte" ! Ça me fait rire amèrement de voir autant de bêtises surtout lorsque les vidéos de son acte prouvent bien l'agression qu'elle a perpétré le 1er mai... 

Mais revenons à la comparution immédiate qui n'a pas été aussi rapide que voulue.

A l'issue de 48 heures de garde à vue, cette sauvage a été déférée au parquet hier après-midi. Verdict : ses avocats ont demandé le report du jugement et il l'on obtenu (le Code pénal permet de demander un report à toute personne devant passer en comparution immédiate).

Elle est finalement placée sous contrôle judiciaire et son procès renvoyé au 1er juin devant le tribunal correctionnel de Paris. Le procureur avait demandé une détention provisoire d'ici le procès, mais le magistrat n'a pas suivi sa requête.

Le plus scandaleux, ce sont les déclarations de l'une des avocates de cette sauvage qui estime que la vie de sa cliente est "détruite" par les 48 heures de garde à vue et la médiatisation des faits, et indique qu'elle "conteste une grande partie des faits". D'ailleurs, elle a annoncé qu'une plainte sera déposée à l'encontre du parquet de Paris qu'elle accuse de "fuites massives et scandaleuses d'informations dans ce dossier".

Je me demande comment certains avocats peuvent encore se regarder dans le miroir... sans compter que la justice fuira à coup sûr ses responsabilités en donnant une peine avec sursis, un rappel à la loi et peut-être une amende.

Allez ! C'est la fête au village !

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