L ‘enquête pour "provocation à la haine raciale" ouverte contre la lycéenne de 16 ans a été classée sans suite.
L’adolescente avait déclaré dans une vidéo publiée sur
Instagram : "l’Islam est une religion de haine. Le
Coran, c’est de la merde (…) Votre religion, c’est de la merde,
votre dieu, je lui mets un doigt dans le trou du cul, merci au
revoir".
Depuis, la jeune femme a été déscolarisée tant elle est devenue la cible d’insultes, de menaces de mort et de viol, atteignant jusqu’à 200 messages de haine à la minute. Tout est parti d’un échange en direct où l’adolescente discutait avec ses abonnés sa passion pour le chant. Un internaute s’est fait très pressant en la draguant, alors Mila, ouvertement lesbienne, l’a recadré et remis à sa place, mais le jeune homme a continué en l’insultant et en l’accusant de racisme et d’islamophobie… de là, le live est parti en sucette, avec les paroles précitées. Certains internautes ont dévoilé son identité, son adresse et même celle de son lycée.
Dépassée par les évènements, la famille a été prise en charge, notamment avec une aide psychologique mais aussi afin d’essayer de stopper la viralité de cette affaire sur les réseaux sociaux.
Pour conclure, je rappelle que le blasphème n’est pas illégal en France. Même si l’on trouve que la jeune femme a été vulgaire dans ses propos, la condamner à mort pour ce qu’elle a dit, relève d’une pure folie… nous sommes au XXIe siècle quand-même !!!
Depuis, la jeune femme a été déscolarisée tant elle est devenue la cible d’insultes, de menaces de mort et de viol, atteignant jusqu’à 200 messages de haine à la minute. Tout est parti d’un échange en direct où l’adolescente discutait avec ses abonnés sa passion pour le chant. Un internaute s’est fait très pressant en la draguant, alors Mila, ouvertement lesbienne, l’a recadré et remis à sa place, mais le jeune homme a continué en l’insultant et en l’accusant de racisme et d’islamophobie… de là, le live est parti en sucette, avec les paroles précitées. Certains internautes ont dévoilé son identité, son adresse et même celle de son lycée.
Dépassée par les évènements, la famille a été prise en charge, notamment avec une aide psychologique mais aussi afin d’essayer de stopper la viralité de cette affaire sur les réseaux sociaux.
Pour conclure, je rappelle que le blasphème n’est pas illégal en France. Même si l’on trouve que la jeune femme a été vulgaire dans ses propos, la condamner à mort pour ce qu’elle a dit, relève d’une pure folie… nous sommes au XXIe siècle quand-même !!!
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