vendredi 22 juillet 2016

Ne pas faire l'amalgame...


Les politiques demandent à l'ensemble de nos concitoyens de ne surtout pas faire d'amalgame entre la situation de terreur dans laquelle nous nous trouvons et les Musulmans de France. Force est de constater que les événements que nous traversons ont été amenés progressivement, notamment par des politiques en mal d'électeurs, lâches et complices et surtout frileux d'être accusé de racisme s'ils faisaient tout simplement respecter les lois de la République.

Comment ne pas faire d'amalgame lorsque l'on voit toutes les polémiques ouvertes à cause des musulmans… Les thèmes ne manquent pas. Les arbres de Noël disparaissent de nos écoles, les crèches sont bannies des Hôtels de ville, le Père Noël fortement exclu de certaines banlieues, la viande de porc supprimée des cantines scolaires sans compter les zones de non-droit. Les vacances scolaires qui changent de noms afin de ne pas froisser la communauté musulmane. Comment réagir devant ces jeunes françaises qui narguent l'autorité de l’État en se voilant ? Alors qu'à la base, elles n'ont rien de vraies pratiquantes. Comment ne pas s'offusquer devant la prolifération des mosquées et la disparition de nos églises ? Pourquoi ne parle-t-on pas des profanations de sites chrétiens et que l'on nous bassinent toujours sur celles commises sur les emblèmes religieux musulmans ? (pour info, il y a nettement plus de profanations de lieux chrétiens et juifs sur notre territoire que musulmans). Comment ne pas faire l'amalgame lorsque l'on voit des femmes se faire agresser parce qu'elles sont vêtues soit-disant trop légèrement. Comment ne pas faire l'amalgame lorsque l'on voit dans les quartiers des "abrutis" (de plus en plus nombreux) exprimer leur joie, crier "A bat la France..." chanter et danser pour fêter les attentats que nous avons connu, piétiner et brûler le drapeau français.

Tous les jours, si l'on creuse un peu, on voit dans les faits divers, des événements impliquant la religion, l'Islam. Plus ou moins grave, c'est selon… Mais les médias nous cachent en partie tout cela à la demande du pouvoir qui veut nous maintenir dans un état de béatitude. On veut nous faire croire en nous culpabilisant que ce sont les musulmans qui sont maltraités dans notre pays. Les pauvres… C'est quand-même nous qui morflons depuis un sacré moment !

Mais oui, Peuple de France, reste tranquille...tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil.

NOTA : à tous ceux qui pensent que je tiens des propos racistes, réfléchissez et lisez bien mon développement. Il ne reflète que ce qui se passe dans notre pays. Simple constatation. Je suis fils d'immigrés moi-même, mais je respecte le pays qui a accueilli mes parents. Vive la France !

3 commentaires:

  1. Les médias et les pouvoirs publics confondent le racisme et la ségrégation. Je suis de race caucasienne et les maghrébins le sont aussi. Ce ne sont ni des mongoloïdes, ni des négroïdes. Tout comme la religion (je suis athée, c'est plus facile pour comparer) n'y est pour rien. Ce sont des abrutis qui se réclament d'une religion et d'origines qu'ils ne connaissent pas qui posent problèmes en France. Plus tous ceux qui sont venus parce que la porte était grande ouverte (les fameux migrants actuels). Ma mère et ma sœur sont nées en Tunisie, le grand-père paternel de la mère de mes enfants était Kabyle. Quelques uns de mes amis sont musulmans (dont une bretonne dont les parents sont bretons, etc.). Ma culture est à la fois Tunisienne (par ma mère), Tourangelle (par mon père), Languedocienne (région natale) et Alsacienne (région où j'ai vécu 18 ans). Actuellement en Provence depuis 3 ans où je prends ma retraite... Je ne peux pas faire d'amalgame, mais je suis forcé de reconnaître que le mal provient d'une seule communauté. Vive la France !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Rien à rajouter. La pluralité est une richesse qu'il faut mettre à profit pour faire le bien. Merci pour cette intervention qui donne de l'espoir.

      Supprimer
    2. Rien à rajouter. La pluralité est une richesse qu'il faut mettre à profit pour faire le bien. Merci pour cette intervention qui donne de l'espoir.

      Supprimer