Des traces de pesticides et de médicaments ont été décelés dans environ 10% des eaux en bouteille, sans toutefois remettre en cause leur potabilité.
C'est une étude de 60 millions de consommateurs et de la Fondation France Libertés qui révèle l'information. La teneur est infime, mais suffisante pour que l'on s'interroge sur la pureté originelle imposée par la règlementation des eaux minérales.
Les embouteilleurs ne sont sûrement pas en cause (en principe), mais cette affaire nous interpelle sur la contamination de l'environnement par les activités humaines.
L'eau du robinet est également concernée. Dans les analyses effectuées, on retrouve des micropolluants, en faibles teneurs et soi-disant sans risque sanitaire immédiat.
La phrase est lâchée : "sans risque sanitaire immédiat", mais dans l'avenir ?
Êtes-vous bouteille ou robinet ?
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