François Hollande avant son élection à la présidence de la République avait fait un certain nombre de promesses.
Force est de constater qu'il a du mal, beaucoup de mal à les tenir. Cruelle est la différence entre une campagne électorale et la réalité du terrain.
La liste établie n'est pas exhaustive, car de mémoire je peux avoir oublié certains de ses engagements.
1. Les engagements pour l'emploi.
2. Les promesses faîtes aux ouvriers de sites comme Florange.
3. Il s'était engagé à ne pas rencontrer de parlementaires à l'Elysée, pour ne pas imiter son prédécesseur. C'est chose faîte depuis le 19 avril.
4. "Je ne m'impliquerai pas dans la campagne pour les législatives". Et pourtant, il apporte soutien et appui à Ségolène Royal le 11 juin 2012 aux élections de la 1ère circonscription de Charente-Maritime.
5. "Présider la République, c'est ne pas inviter de dictateurs". Là encore, la réalité le rattrape en invitant notamment Hamed ben Issa Al Khalifa (roi du Bahreïn), ou le président de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliev.
6. La "normalité", sorte de modestie voulu. La logistique de la guerre au Mali a ramené le chef de l'Etat au standing présidentiel.
7. Au revoir la Citroën DS5 qu'il avait choisie lors de son investiture, il se déplace désormais dans la plus clinquante C6 blindée.
8. Il ne voulait pas dormir à l'Elysée et préférait son appartement du 15e arrondissement parisien. Maintenant, il dort au palais.
9. Il ne voulait faire que des déplacements en train. En janvier, c'est en avion qu'il a rallié Lille depuis Paris.
N'hésitez pas dans vos commentaires à rajouter ce qu'il n'a pas tenu...
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