Manuel Valls a défendu hier l'action du renseignement et de l'antiterrorisme en France, notamment en affirmant qu'il n'y a eu aucune négligence dans le suivi du tueur de Magnanville.
Il a répété que notre pays connaîtrait malheureusement de nouvelles attaques terroristes mais a écarté l'idée de centres de rétention pour les personnes radicalisées, considérant que ce serait "dangereux" et "affaiblirait la lutte contre le terrorisme".
"Il faut poursuivre ce travail, il faut resserrer les mailles du filet, il faut continuer à donner tous les moyens à la police, à la gendarmerie et aux services de renseignement. Mais nous connaîtrons de nouveau des attaques parce que nous faisons face à une organisation terroriste qui recule en Syrie et en Irak et qui se projette dans nos pays sous des formes différentes" afin de "créer la peur et diviser", a déclaré le Premier ministre.
Avec un tel raisonnement, on est pas sauvé !
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