Depuis 2014, on estime à 1700 le nombre de français partis rejoindre les zones djihadistes en Irak et en Syrie. Fin octobre, les chiffres (non confirmés) sont de 278 morts, 302 sont revenus en France : 178 hommes (dont 120 écroués), 66 femmes (dont 14 ont été écrouées) et 58 mineurs, la plupart de moins de 12 ans. Pour les autres, ils ont été soit capturés, soit tués, soit partis ailleurs comme en Libye.
Plusieurs familles de djihadistes français capturés en Irak et en Syrie ont écrit au chef de l’État pour réclamer leur rapatriement. Emmanuel Macron a déclaré que les conditions de retour des femmes et enfants de djihadistes français, seront examinées au cas par cas, en fonction des situations.
Mais de quelle autorité relèvent-ils ?
La ministre des Armées Florence Parly avait précisé fin octobre que le sort des Français arrêtés dans les zones de conflits dépend du pays où ils se trouvent. Mercredi, le président de la République a déclaré : "Nous avons des échanges permanents avec la justice irakienne, que nous reconnaissons. Et quand des crimes sont identifiés pour des ressortissants français (…), ils doivent être jugés, et nous reconnaissons la justice, il y a un travail qui est fait avec".
A suivre donc...
Il faut que je passe chez le podologue, j'ai une épine sous le pied gauche à me faire enlever !
RépondreSupprimerLe problème est si épineux que ça ?
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