Le 27 juillet dernier, Emmanuel Macron déclarait lors de la visite d’un centre d’hébergement de réfugiés à Orléans : "D’ici la fin de l’année, je ne veux plus personne dans les rues, dans les bois".
Son ambition a été saluée par les associations qui ont vu en son discours une fin à la misère de dizaine de milliers de personnes… Malheureusement quelques mois plus tard, on se rend compte que la création d’hébergements d’urgence, de centres de transit, la mobilisation de bâtiments collectifs, sans compter les moyens financiers mis en œuvre ne suffisent pas. Loin s’en faut.
A écouter les avis, nous avons d’un côté, des humanitaires qui veulent continuer à accueillir toute la misère du monde et de l’autre des protectionnistes qui se tournent vers la fermeture des frontières.
Qui a raison finalement ? Mais surtout que faire ?
Super dessein...bravo !
RépondreSupprimerC'est un continuel aller-venir des paroles,actions et souhaits de ce mouvement du L'AREM....je crois qu'il manque qq peu de coordination. Mais,nous,peuple de la rue, que pouvons nous faire ???
Plus personne dans la rue,ni dans le bois....
Il y en a...toujours autant,mais il est vrai ne sont pas les mêmes !
Que peut faire le peuple ? Déjà, ne plus élire d'incapables qui n'ont rien à faire de notre pays et qui ne pensent qu'à leur carrière. Ensuite, arrêter avec le politiquement correct qui nous pourrie la vie et dire et surtout faire les choses comme elles doivent l'être. Serrer la vis... revenir à une logique de fonctionnement qui ne prend pas ou plus en compte l'argent mais l'être humain. Ce ne sont que des pistes mais qui pourraient être appliquées s'il y avait de la volonté.
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