Plus de 2 000 points de blocages, filtrages, opérations escargots, manifestations, sans compter des débordements violents, des dizaines de blessés et à déplorer, le décès d’une manifestante... ce sont près de 300 000 personnes qui se sont mobilisées durant le weekend pour dire leur ras-le-bol au gouvernement (d'après le ministère de l'Intérieur). Le Premier ministre, invité hier soir du journal de 20 heures de France 2 a dit avoir entendu la colère et la souffrance des français, mais compte bien tenir le cap.
En France, "la liberté d’expression et de manifestation sont garanties, mais ce n’est pas l’anarchie", a-t-il ajouté. Au final, ce qu’il y a à retenir, c’est que le gouvernement ne fera pas marche arrière.
Un comportement qui me rappelle le mouvement et la grève perlée de trois mois des cheminots qui déjà, avaient tiré le signal d’alarme sur les comportements plus que fascistes du pouvoir. Mais tout le monde s’en foutait à ce moment là et même, se réjouissait de voir qu’un gouvernement réussissait enfin à écraser ces "privilégiés" de cheminots. Et attendez ! Ce n’est pas fini… d’autres réformes sont à venir et gageons notamment que celle des retraites, sous prétexte d’effacer les inégalités entre les différents régimes, va faire encore plus mal !
La seule solution serait que tout le monde s’arrête de travailler, d’un coup... d’un seul ! Je dis bien tout le monde ! Là, je pense que le gouvernement reculerait… Malheureusement, l’union (qui fait la force) ne sera jamais là !
Il y a trop de "suce-bites" en ce monde prêts à suivre comme des moutons !
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