mardi 13 octobre 2015

Le droit au travail...


Cinq salariés d’Air France en garde à vue. Ces arrestations arrivent une semaine après les violences qui ont éclaté lors d’un comité central d’entreprise consacré à un plan de restructuration prévoyant 2 900 suppressions de postes.

En raison des plaintes déposées, les suspects s’exposent à une sanction pénale. Les auteurs des violences risquent jusqu’à trois ans de prison et 45 000 euros d’amende, et jusqu’à cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende si les violences ont entraîné une incapacité de travail totale de plus de huit jours.

Par ailleurs, ces mêmes personnes ainsi que d'autres impliquées dans cette triste affaire risquent également une sanction professionnelle, de la mise à pied conservatoire jusqu'au licenciement.

Pas bien de vouloir défendre son casse-croûte !

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