vendredi 30 mai 2014

Ponts et viaducs...


Le mois de mai est cette année béni pour certains d'entre nous. En effet, moyennant un seul jour de congé pour chaque période, 3 breaks de quatre jours étaient possibles (selon les contraintes des métiers), du 1er au 4 mai, du 8 au 11 et ce weekend (du 29 mai au 1er juin).

Cette possibilité de chômer de nombreux jours n'est pas perçu de la même manière que l'on soit un travailleur ou bien une entreprise. Le travailleur y trouve l'occasion de s'accorder du temps, de se retrouver en famille, de partir quelques jours ou tout simplement de se reposer.

Mais du côté de l'industrie, on voit d'un mauvais œil ce mois "spécial", car les entreprises doivent s'adapter dans leur planning et assurer malgré tout le bon fonctionnement de leur activité, tout en limitant les pertes de chiffres d'affaire liées à cette répartition de jours fériés.

La perte est évaluée, grosso-modo, à une diminution du PIB de 0,1 point, soit environ 2 milliards d'euros... Par contre, cette situation profite bien évidemment au secteur du tourisme (hôtellerie, restauration...) qui voit à l'inverse son chiffre d'affaire augmenter.

Y a-t-il trop de jours fériés dans notre calendrier ?

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