Le mois de mai est cette année béni
pour certains d'entre nous. En effet, moyennant un seul jour de
congé pour chaque période, 3
breaks de quatre jours étaient possibles (selon les contraintes des métiers), du 1er au 4 mai, du 8 au 11 et ce
weekend (du 29 mai au 1er juin).
Cette possibilité de chômer de
nombreux jours n'est pas perçu de la même manière que l'on soit un
travailleur ou bien une entreprise. Le travailleur y trouve l'occasion de
s'accorder du temps, de se retrouver en famille, de partir quelques
jours ou tout simplement de se reposer.
Mais du côté de l'industrie, on voit
d'un mauvais œil ce mois "spécial", car les
entreprises doivent s'adapter dans leur planning et assurer malgré
tout le bon fonctionnement de leur activité, tout en limitant les
pertes de chiffres d'affaire liées à cette répartition de jours
fériés.
La perte est évaluée, grosso-modo, à une
diminution du PIB de 0,1 point, soit environ 2 milliards d'euros... Par contre, cette situation profite
bien évidemment au secteur du tourisme (hôtellerie,
restauration...) qui voit à l'inverse son chiffre d'affaire
augmenter.
Y a-t-il trop de jours fériés dans notre calendrier ?
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