Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain
si le Seigneur ne garde la ville,
c’est en vain que veillent les
gardes.
En vain tu devances le jour,
Tu retardes le moment de ton repos,
Tu manges un pain de douleur ;
Dieu comble son bien-aimé quand il
dort.
Des fils, voilà ce que donne le
Seigneur,
des enfants, la récompense qu’il
accorde ;
comme des flèches aux mains d’un
guerrier,
ainsi les fils de la jeunesse.
Heureux l’homme vaillant
qui a garni son carquois de telles
armes !
S’ils affrontent leurs ennemis sur la
place,
ils ne seront pas humiliés.
Tout en reconnaissant l'importance du
travail, ce psaume affirme que tout ce travail est inutile
si Dieu n'est pas aux côtés de celui qui peine. Notre "sommeil" devient ainsi un
repos béni par Dieu, destiné à sceller une activité qui a un sens
et une teneur. Du moins, c'est ce que je comprends...
Bon dimanche à tous.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire