dimanche 1 juin 2014

Ps 126, 1.3-5


Si le Seigneur ne bâtit la maison,
les bâtisseurs travaillent en vain
si le Seigneur ne garde la ville,
c’est en vain que veillent les gardes.

En vain tu devances le jour,
Tu retardes le moment de ton repos,
Tu manges un pain de douleur ;
Dieu comble son bien-aimé quand il dort.

Des fils, voilà ce que donne le Seigneur,
des enfants, la récompense qu’il accorde ;
comme des flèches aux mains d’un guerrier,
ainsi les fils de la jeunesse.

Heureux l’homme vaillant
qui a garni son carquois de telles armes !
S’ils affrontent leurs ennemis sur la place,
ils ne seront pas humiliés.

Tout en reconnaissant l'importance du travail, ce psaume affirme que tout ce travail est inutile si Dieu n'est pas aux côtés de celui qui peine. Notre "sommeil" devient ainsi un repos béni par Dieu, destiné à sceller une activité qui a un sens et une teneur. Du moins, c'est ce que je comprends...

Bon dimanche à tous.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire