Il s'appelle B-31... et les équipes de
la NASA qui le suivent à la trace assure qu'il n'y a aucun risque
de montée rapide des eaux, ni de collision avec des bateaux.
Mais de quoi parlons-nous ?
Tout bêtement d'un iceberg qui s'est
détaché du glacier de Pine Island et qui se retrouve à la dérive
dans l'Antarctique. Il mesure quand même 660 km² (six fois la ville
de Paris) et a une épaisseur de 487 mètres.
Un petit glaçon, quoi !
Bonjour Christian,
RépondreSupprimerEt il faut s'attendre à en trouver d'autres et de plus en plus souvent. C'est la conséquence du réchauffement climatique et de la fonte de la banquise. Je suis catastrophée de savoir qu'aujourd'hui des ours polaires meurent noyés parce qu'ils ne trouvent plus de glace où se réfugier. C'est affolant.
Bonjour Lapeste.
SupprimerDans ce cas précis, cela se passe en Antarctique (donc pas d'ours polaire) , mais les effets pervers de l'activité humaine agissent de même dans l'Arctique et la faune subit trés durement ces changements qui s'accélèrent sans pour autant que quelqu'un réagisse vraiment. Triste. Très triste...
Un petit complément à ton article avec une courte vidéo http://future.arte.tv/fr/sujet/changement-climatique-la-glace-se-brise
RépondreSupprimerBonne journée Christian
Merci de ta contribution (encore une fois). Tu sera toujours la bienvenue.
SupprimerBonne journée également.