Le 31 octobre 2014 (soir d’Halloween), Jean Jelencik est sorti de chez lui avec un bâton pour faire cesser le tapage de jeunes gens lançant des pétards et des fusées. Tombé au sol lors d’une échauffourée, il a été frappé par le groupe de jeunes tandis que le "meneur" lui portait des coups de pied au visage. La victime de 78 ans succombait deux semaines plus tard de ses blessures.
Sur les huit accusés jugés pour non-assistance à personne en danger, quatre ont été acquittés et quatre autres condamnés à des peines entièrement couvertes par le sursis, allant de trois mois à deux ans.
L’auteur principal accusé de violences volontaires mortelles, âgé de 16 ans au moment des faits, a été condamné à cinq ans de prison, dont un an assorti d’un sursis avec mise à l’épreuve. Les jurés ont admis l’excuse de minorité pour ce garçon jusque là sans histoire. Sa petite amie condamnée elle aussi pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, s’est vue infliger quatre ans de prison dont deux ans avec sursis avec mise à l’épreuve.
C'est pour ça qu'on les appelle les 'chats fourrés ' ! le malheur c'est que sommes nous les tributaires des ces excès de liesse !
RépondreSupprimerLa justice, la loi ne sont pas égales pour tous ! Le bras long de la loi oublie souvent, trop, son honneur !
Deviendrait-il ainsi un bras d'honneur ?
Supprimerla Justice et la Chance paraissent avoir les yeux bandés..... et la balance n'être parfaitement équilibré !
RépondreSupprimerSigne qu'il faut avoir parfois une extrême sensibilité dans la répartition juste et équitable des jugements de l'une et le semis de l'autre !
Et, très souvent nous, au milieu, sans rien !
Pourtant quelquefois (pour ne pas dire souvent), les peines prononcées paraissent tellement dérisoires face à l'événement jugé.
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