Ainsi, le gouvernement pourrait interdire la tenue des évènements sportifs la nuit dès cet hiver. Une mesure qui viserait à faire des économies d'éclairage et qui impacterait en premier chef le football et le rugby.
Tout en contradiction, la ministre a défendu par ailleurs les sports mécaniques, notamment le maintien du Grand Prix de France, qui a lui seul a une forte empreinte carbone.
Lorsque l'on veut faire des économies d'énergie, il faut être cohérent et là, ce n'est pas tellement le cas. Le fond de l'histoire n'est pas tant le changement climatique, mais surtout les risques de pénurie d'électricité, conséquence directe de la guerre entre la Russie et l'Ukraine.
Si le conflit russo-ukrainien n'avait pas eu lieu, on n'en serait pas à remettre en question toute ces choses là. Aujourd'hui, on parle des sports pratiqués en nocturne, mais demain ? Ces abrutis risquent de remettre également en question l'utilisation au quotidien de la télé, du four, du sèche-linge, du congélateur, du réfrigérateur, des box internet, des plaques électriques, etc.
En fait, il faudrait arrêter de vivre car tout ce que nous faisons consomme de l'énergie.
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